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BIENVENUE invités SUR THE-NEW-FORKS! On dit que l'espoir fait vivre, l'espoir d'une vie meilleur... J'en doutais, je ne sais plus. Je crois en l'amour, en notre amour Henri. 296cgea Beaucoup de postes sont LIBRE! Viens donc les voir, entre autre nous attendons : le clan Green mais aussi Jacob Black, Seth & Lee Clearwater. On dit que l'espoir fait vivre, l'espoir d'une vie meilleur... J'en doutais, je ne sais plus. Je crois en l'amour, en notre amour Henri. 1424x80 N'oublies pas que tu peux inventé ton personnage et qu'il peut être inspiré d'un personnage de série... Lis aussi la NOTE sur le contexte du forum & le contexte bien évidement ainsi que son règlement dans à savoir. On dit que l'espoir fait vivre, l'espoir d'une vie meilleur... J'en doutais, je ne sais plus. Je crois en l'amour, en notre amour Henri. D8tu8 FACEBOOK est sur notre forum, une fois inscris et valider tu peux nous y rejoindre!!! Les invités ont leur propre section alors n'hésites pas à poser toute tes QUESTIONS & autres. AMUSES-TOI BIEN SUR NOTRE FORUM On dit que l'espoir fait vivre, l'espoir d'une vie meilleur... J'en doutais, je ne sais plus. Je crois en l'amour, en notre amour Henri. Xbw8xg. N'oublie pas de TOP SITER pour faire connaitre le forum! LA SOIRÉE HALLOWEEN COMMENCE LE 6/10 A 21HEURE!!!
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 On dit que l'espoir fait vivre, l'espoir d'une vie meilleur... J'en doutais, je ne sais plus. Je crois en l'amour, en notre amour Henri.

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AuteurMessage


Eden Carolina Alister

Eden Carolina Alister

» RANG DU PERSONNAGE :
When I look into your eyes I can see your soul
When I am in your arms I can feel the beatings of your heart
When I am far from you I don't stop thinking of you
When I feel your breath on my skin I feel reliving
When I hear your voice I shiver, you make drunk me
We name it love I name it Henri
Because my definition of the love is called Henri
You are my love, my eternity

On dit que l'espoir fait vivre, l'espoir d'une vie meilleur... J'en doutais, je ne sais plus. Je crois en l'amour, en notre amour Henri. 14cdueb

» AGE : 37
» A SAVOIR SUR TOI : je suis quelqu'un de bon je pense, j'aime aidé les autres à aller mieux, du moins je fais ce que je peux - j'aime faire rire et faire l'enfant, je souris très souvent mais sa ne veut pas dire pour autant que je suis heureuse...
je me sens souvent très seule sans sécurité & abandonner mais je ne le dis à personne, l'immensité me fais peur, ne pas savoir répondre à toute les questions que je me pose aussi, ce qu'on ignore nous fait peur & j'ignore à peu près tout de la vie...
je suppose que je devrais être heureuse d'être en vie, je suppose que certains d'entre vous ne crois pas en Dieu, parfois je n'y crois plus non plus mais on à tous besoin de se raccrocher à quelque chose qui nous est supérieur quand on ne sait pas ou on va
ou je vais d'ailleurs, je n'en ai aucune idée pourvus que je ne perde pas ceux que j'aime
je ne sais pas qui je suis, peut être vous ferez vous une idée de qui je pourrais être avec ce que je viens de dire
» OU ES TU? : FORKS
» ETUDES/TRAVAIL : galeriste
» HUMEUR : joyeuse hihi
» MESSAGES : 146
» POINTS : 188


MOI & MON ENTOURAGE
» RELATIONS:


On dit que l'espoir fait vivre, l'espoir d'une vie meilleur... J'en doutais, je ne sais plus. Je crois en l'amour, en notre amour Henri. _
MessageSujet: On dit que l'espoir fait vivre, l'espoir d'une vie meilleur... J'en doutais, je ne sais plus. Je crois en l'amour, en notre amour Henri.   On dit que l'espoir fait vivre, l'espoir d'une vie meilleur... J'en doutais, je ne sais plus. Je crois en l'amour, en notre amour Henri. EmptyMer 3 Nov - 14:40

_« Il n'y a qu'un remède à l'amour :
aimer davantage.
| Henry David Thoreau »_

Spoiler:


« Une œuvre inachevée » soupirais-je. Je me souvenais du jour ou j'avais décider d'entreprendre ce travail, durant un moment j'avais fait une pause dans mes peintures, j'avais ma galerie certes, mais je ne désirais plus peindre comme si toute ses couleurs que j'aimais tellement faire vivre n'existaient plus. J'avais cette impression que le monde entier était sombre comme je l'étais à l'intérieur de moi, au début de ma psychanalyse l'on m'avais dit que lorsqu'on est dépressif comme moi il est très difficile de s'en remettre, cette personne qui attendait avec moi dans la salle d'attente avait sans doute raison, d'ailleurs je ne l'a vis qu'une fois et la semaine d'après en lisant le journal je vis son visage dans les personnes décédés. Je savais qu'un jour mon nom figurais dans cette liste d'une façon ou d'une autre... Ce jour, je rencontrais un spécialiste que je n'ai vu d'ailleurs que quelque fois puisque je décidais par la suite de stopper les séances mais je me souviendrais toujours de cette phrase : « Les personnes dépressives sont comme des maisons qui ont brûlés de l'intérieur, tout est noir et réduit en cendres, il ne reste que les murs et l'aspect extérieur. » A présent je trouve que c'est phrase est juste, il avait ajouter ensuite qu'il tenterait de m'aider à tout reconstruire et redécorer, mais maintenant cela me semble impossible.

Beaucoup de personnes disent qu'une fois qu'on a vécu énormément de choses terribles dans notre vie et qu'on est toujours debout, vivant, on peut tout endurer et tout supporter, pour ma vie je pense que c'est la faute à pas de chance, la faucheuse n'a pas penser à venir me chercher tout simplement, elle a peut être, par mégarde, laissée sa liste de personnes à venir chercher près d'une fenêtre ouverte et il c'est sans doute mis à pleuvoir, lorsqu'elle est revenu elle n'a pus se souvenir de tout les noms et elle a simplement omis le mien, dommage...


Toute les nuits je fais les même cauchemars, je suis seule dans cette ruelle qui d'habitude est éclairer par ses immenses lampadaires et je traverse pour rejoindre mon 4x4 et rentrer chez moi. L'atmosphère de la nuit est douce, toutefois dans cette béatitude quelque chose cloche, je ne sais encore quoi lorsque j'entends du bruit venant de la grande place, c'est la fête étudiante de Forks, depuis que l'université à ouvert des jeunes de Forks et d'ailleurs font la fête sur la grande place en chantant, dansant mais surtout en buvant et en prenant de la drogue comme tout les jeunes de leur âge. Rejoignant la voiture un jeune homme arrive derrière moi et me demande si j'ai du feu, je lui réponds non le plus poliment possible et le plus calmement puis me retourne pour chercher mes clefs. Nerveuse je ne les trouve pas et j'aperçois toujours l'ombre de l'homme derrière moi, il semble rire et me dis :

« T'es canon bébé, tu veux pas qu'on passe un moment ensemble, je suis sur que tu vas aimer. »


Le couperais tombe avec mon mal aise et mon mal être, j'ai déjà vécu cela quand j'étais enfant, à cet instant je revois mon grand père me prendre pour la première fois dans ses bras dans le couloir alors qu'il est devant la porte de la chambre d'Hanna et lorsqu'il ouvre la mienne mon enfance s'évanouit... Je ressens à ce moment cette impression de vide en moi, je sais déjà ce qu'il risque de se produire pour l'avoir vécu durant plus de 7 ans. Me retournant je lui crache au visage avant de commencer à le frapper, si j'avais pu je l'aurais battu à mort mais un homme était cacher la derrière la voiture et m'attrapa par les bras. Tout était prévu d'avance, j'étais tombée dans leur piège, ils m'avaient vu dans ma galerie et avaient trouvés une embuscade. Je comprends ensuite ce qu'il m'attends, je suis ruée de coups, violé par les deux à la fois et laisser pour morte sur le trottoir au coter de mon 4x4. Mes yeux se ferment doucement, j'entends leurs rire puis le silence revient pour me laisser sombrer dans le néant. Quelques heures plus tard je me réveille doucement, un homme s'approche de moi et me vois bouger, il me semblais sale, me voyant bougé il se rapproche et vois que je suis réveillée, je n'ai pas la force de dire un seul mot, il panique, c'était un SDF qui prenait mes papiers et mon argent sans compter mes bijoux mais une fois pris il m'envoie un coup de pied dans le visage, je sombre de nouveau espérant enfin que la chauffeuse vienne me chercher...

Elle n'en fit rien, je me réveille à l'hôpital, mes prunelles embrumés de larmes je perçois un homme penché vers moi, je le reconnais entre mille John, le frère de mon mari, Henri est au courant maintenant, il va arrivé et évidement va s'énerver et jurer qu'il tuera celui qui m'a fait subir tout cela. John me fixe et presse ma main, je tente de me lever mais il m'en dissuade et je tente d'éclaircir ma voix.

« Ne lui dit rien. »


S'approchant encore de moi, il caresse mon visage, apeurer je ferme les yeux, avec ce que j'ai vécu dès qu'un homme me touche j'ai l'impression qu'on m'enfonce un coup de couteau dans le ventre, John s'en aperçoit et retire sa main, un sourire d'excuse se dessine sur son visage et il me dit d'un air désolé : « Il le sait, je lui ai dit dès que je l'ai su... C'est tout de même ton époux Eden, il doit le savoir, comment tu lui aurais expliqué? »

Il avait raison, mais j'avais besoin de temps, de répit avant d'affronter son regard, ce regard emplis de haine envers mon agresseur certes, mais toutefois un regard sombre que je n'aime pas regarder m'effrayant beaucoup trop. Je me refuse de pleurer, pourtant mes larmes roulent sur mes joues, je sens mes yeux brûler, mais pas seulement, mes membres brûlent, mais la brûlure la plus atroce vient de mon cœur, une souffrance m'envahis et j'entends un son sortir de ma bouche, un hurlement terrible, un de peur mais pourtant j'ai cette impression d'être spectatrice de la scène. Rapidement Henri arrive le visage fermé, colérique puis emplis de douleur, jamais je n'aurais pensé percevoir dans ses prunelles ce sentiment, je ferme les yeux ne voulant pas affronter cette douleur qu'il ressent, je ne m'étais pas préparer à le voir, ce regard est pire que celui que j'avais envisager, je me sens mal et nauséeuse et me penchant sur le coter, je vomis tout ce qu'il me reste dans ce corps brûler de l'intérieur. Les heures passent et se ressemblent, Henri me tiens la main et tente de me rassurer comme il peut quand le médecin entre et me regard d'un air sévère, derrière lui j'aperçois un des frères à Henri, Aaron, un psychiatre hypnotiseur avec toujours se sourire rassurant même à ce moment, il me réchauffe un peu le cœur et vint à mes coter, prenant la place d'Henri sur le tabouret. Attendant qu'Henri s'assoit sur le lit, il me regarde toujours avec ce léger sourire et prend délicatement ma main dans la sienne, au fond de moi je sais déjà ce qu'il va m'annoncer, le plus rude sera certainement pour Henri, fermant les yeux il sait déjà que je suis au courant, caressant doucement ma paume il parle dans un murmure.

« Eden à été violer une première fois par deux individus, puis elle a été violer de nouveau par des passants dans la rue, on ne sait pas vraiment combien, la pensant sans doute morte et étant tous dans un état d'ébriété extrême ils se sont défoulés sur elle. Tu as énormément de chance d'être en vie Eden, tu le sais. »

« De la chance » Murmurais-je, la dessus nous n'avions pas le même point de vue, je savais qu'Henri voudrait que j'aille voir son frère qui avait ouvert un centre médical ou il traitait des personnes très dépressives, je ne voulais pas me battre et me disputer avec lui, je ne savais pas dont j'avais besoin, me sentant vide de tout, me sentant morte de l'intérieur je ne pris aucune décision pour mon avenir proche ne désirant pas le vivre.

Je me réveillais toujours à cet instant ou je l'apprenais, c'est sans doute étrange, n'importe qui penserais que j'aurais du me réveiller durant le viol ou lorsque je perds connaissance après celui-ci mais étrangement non, je me réveille en sueur après la nouvelle...

C'est un jour ou je suis restée à la maison comme tout les autres jours mais un de ses jours ou je me sens nauséeuses ce qui arrive trop couramment à mon goût ses derniers temps, me levant je me précipite aux toilettes pour vomir, Henri arrive et me tiens les cheveux, depuis le viol je sens bien qu'il est différent mais je ne peux pas lui en vouloir, je pense que c'est normal, il ne comprends sans doute pas mon état de léthargie, je ne sais pas. Je décide de rester sur le sol froid, il reste à mes coter et me tiens la main, mais il sait que je préférais être seul, c'est simple depuis ce qu'il s'est produit je ne veux plus être approché par qui que ce soit et surtout par aucun hommes même le mien. Triste, coincé je tente de mettre fin à mes jours en désirant courir vers une de nos immense baie vitrée pour foncer dedans et me vider de mon sang, mais Henri me retient prisonnière de cette vie, une vie qui sans moi lui ne pourrait vivre. D'une certaine façon je le comprends, moi même je sais que si il venait à disparaître je mettrais fin à mes jours, mais ce qu'il ne sait pas c'est qu'il n'y a plus rien à l'intérieur de moi, ou presque...

Me rendant au centre d'Aaron je me rends compte que j'ai pris du poids, tentant d'enfiler un de mes jeans préférés je me rends compte alors que c'est impossible, même avec la technique imparable ou l'on se couche sur le lit pour rentrer son ventre, rien à faire, il y a se petit bidon qui refuse de rentrer. Soupirant je me rends compte que je vais devoir mettre une robe, je n'en ai pas mis depuis l'agression... Je me lève et fouille dans l'armoire d'Henri, je ne pourrais que rentrer dans l'un de ses jeans ou pantalon de costume, j'en prends un noir, l'enfile et met un chemiser blanc, je met une ceinture épaisse autour de ma taille pour le tenir et j'enfile mes bottines noir Louboutins. Je suis prête à partir et dans le miroir je perçois une parfaite inconnu, habituellement souriante je n'affiche qu'une souffrance immense, la femme que je perçois à mes traits mais ce n'est pas moi. Je sors et me rends au cabinet quand j'explique à Aaron que je suis mal ses derniers temps, il me fait quelques examens et me laisse attendre dans son bureau. A son retour son regard est inquiet, quelque chose ne va pas et il a peur de la réaction que cela pourrait engendrer, je me sens mal, je pose une main sur mon ventre lorsqu'il m'annonce quelque chose que je refuse d'entendre mais qui pourtant était évidente, « Tu es enceinte Eden, je ... » sa voix s'éteint, elle me semble si lointaine à cet instant, puis je me réveille tremblante et suffocante... Ce n'était pas un cauchemar, c'est tout simplement arrivé.


Je transpire, mon poux est accéléré et je tremble, je suis dans cet état toute les nuits. Henri à mes coter me fixe avec un regard doux, il frôle mon visage avec ses doigts longs et froids, je me lève et sort du placard dans lequel je dors pour m'enfermer dans la salle de bain. J'ai toujours le même rituel, je me regarde dans le glace, je ne me reconnais pas et je tente de laver mon visage pour me retrouver enfin, mais au bout de 5 minutes je me rends compte que je suis toujours la même, que la femme dans ce reflet est celle que je suis devenu. Henri arrive derrière moi et me regarde inquiet, il est déjà habillé et près pour aller travailler, ses derniers temps il passe son temps au travail, il m'évite, voyant certainement que mon état s'aggrave, il est impuissant. Je ne peux rien faire, j'aimerais m'approcher de lui et me serrer dans ses bras, l'embrasser avec amour, courir sur lui et déchirer sa chemise mais je ne peux pas, entre nous c'est monté une immense vitre que je ne peux traverser, elle est si épaisse, je ne peux voir qu'Henri inquiet de l'autre coter. Parfois j'arrive à me voir derrière lui le teint pâle mais avec un immense sourire, cependant j'ai une paire d'immense ailes, je comprends alors que je suis morte dans cette vision qui me semble idéal puisque je me retrouve enfin à travers ce visage mais je ne peux pas lui faire sa, Henri ne mérite pas de souffrir, il a déjà suffisamment subit lorsqu'il était enfant. C'est ainsi que je survis pour lui, pour son bien mais aussi pour celui de ma sœur jumelle Hanna.

Il part m'envoyant un baiser au loin, j'aimerais qu'il m'embrasse réellement mais il sait que si il s'approche je risque de le repousser, il ne le supportera pas une fois de plus pourtant au fond de moi j'entends un hurlement « prends moi, sers moi, force moi à ressentir tout ce que je ressentais auparavant, Henri je t'en supplie sers moi, oblige moi » mais il ne peut l'entendre. Il sort comme toujours, des larmes roulent sur mes joues et je retourne dans le placard pour pleurer des heures durant. Mais je dois me nourrir, je suis enceinte à présent, Henri et moi avons décider de garder notre enfant, je ne suis plus sur de rien mais il semblerait que sa soit une bénédiction de l'avoir, Henri l'aime déjà, j'essaye mais je ne pense pas l'aimer, parfois si d'autre jour non, comme aujourd'hui, elle ne fait que me déformer, j'aimerais qu'elle ne soit jamais venu mais je ne peux plus rien faire, ne pouvant plus avorter. Je me lève et me faufile dans la cuisine, avant j'étais toujours apprêter, belle, sexy, à présent je porte des pyjamas large, je ne suis plus rien, mes longs cheveux longs ne sont même plus coiffer. Au fond j'aimerais qu'Henri me quitte pour que je puisse mourir enfin, mais d'un autre coter cette idée me fais mal puisque je n'aime que lui, depuis le jour ou nous nous sommes rencontrer je suis folle de lui et jamais je ne voudrais le perdre. J'efface cette idée de ma tête, me prépare des toasts que je me force à manger puis je vais m'assoir sur la véranda et j'attends que le temps passe. Je repense alors à ce tableau inachevé, ce portrait d'Henri que je désirais temps réaliser, mais je suis bloquée à son regard, j'aimerais faire celui que j'aime tant, celui d'un homme dur mais d'un mari aimant mais je n'arrive plus à visualiser ce regard. Instinctivement comme toute les mères je pose une main sur ce ventre rond, je ne m'en rends pas compte tout de suite mais je ressens un coup, puis un second. Un sourire s'épanouit sur mes lèvres, j'avais besoin d'un signe et j'en ai enfin un. Me redressant je fonce dans une pièce armée d'un miroir, dans ce reflet je me vois souriante les larmes aux yeux mais ce sont des larmes de joie, de pur bonheur. Je me précipite sur le téléphone et songe à envoyer un message à Henri quand je vois mon chevalet. Dessus il y a ce drap jaune que j'avais poser, j'avais interdit Henri de le soulever et j'étais sur qu'il avait tenu parole, je m'en approche et le retire, je perçois son doux sourire et me munissant de mon pinceau et de ma palette je commence à peindre. Cela dure des heures je ne m'en rends compte seulement à cause du soleil qui tombe, je décide de me reculer et de regarder comment il rends, c'est ce regard que j'aimerais retrouver, il ne manque qu'une touche, une seule, ma signature dans le coin et le tableau est enfin terminé. Émue, je laisse des larmes coulées quand je cours dans la salle de bain prendre une douche chaude et que j'enfile cette robe rouge volante qu'Henri m'a acheter. Mon rebond se voie mais je m'en moque, il est merveilleux comme l'enfant qui grandit en moi, je me coiffe mais je décide de laisser mes cheveux tombés sur mes épaules, je me maquille légèrement et j'enfile ma plus belle paire de Louboutins.

Je m'enfonce dans la cuisine pour faire à manger, des spaghettis et des boulettes de viandes, mon plat préféré puis j'envoie un texto à Henri lui demandant de venir rapidement. Je prépare une table avec des bougies en forme de cœurs et des pétales de roses sur la véranda et je laisse mijoter la nourriture attendant avec impatience Henri Charles Alister mon tendre époux.

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Henri Charles Alister

Henri Charles Alister

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On dit que l'espoir fait vivre, l'espoir d'une vie meilleur... J'en doutais, je ne sais plus. Je crois en l'amour, en notre amour Henri. _
MessageSujet: Re: On dit que l'espoir fait vivre, l'espoir d'une vie meilleur... J'en doutais, je ne sais plus. Je crois en l'amour, en notre amour Henri.   On dit que l'espoir fait vivre, l'espoir d'une vie meilleur... J'en doutais, je ne sais plus. Je crois en l'amour, en notre amour Henri. EmptySam 6 Nov - 11:54


Depuis le temps que nous étions ensemble, je n’arrivais toujours pas à comprendre comment elle avait pu rester avec moi mais surtout m’aimer…Je ne mérite en rien son amour pas après ce que je lui avais fait subir. Mes pensées se dirigeaient sur les douces nuits que nous avions passé ensemble, toute cette tendresse qu'elle m'avait offert mais surtout tout le bien qu'elle m'avait donné sans le savoir. J'eus un léger sourire quand je repensais à cela et je dois dire que chaque moment passer avec elle avait été merveilleux. Je me souvenais de ce jour où je l’avais vu pour la première fois, où j’avais ressentis se besoin de la suivre, de la toucher mais surtout de l’avoir près de moi mais elle était humaine et moi un monstre le coté le plus noble de moi me disait de la transformer ainsi j’aurais sa compagnie pour l’éternité mais je dois avoué une chose c’est que je n’avais encore jamais transformer personne et je ne savais pas si j’y arriverais parce que une fois que l’on goûte à du sang humain nous avons du mal à nous contenir et stopper au bon moment et je ne savais pas si j’avais se contrôle en moi bref je la regardais et l’admirer pendant des heures et je dois avoué que je ne savais pas pourquoi elle m’attirait autant après tout ce n’était qu’une humaine mais je voulais la garder pour moi et moi seul. Je n’avais pas compris se sentiment avant je l’avais pris pour de l’égoïsme pur et simple hors je venais de tomber amoureux d’elle c’était comme un coup de foudre mais je me refusais de penser comme ça parce que à ce moment précis de mon existence je ne pouvais accepter d’éprouver des sentiments pour quelqu’un encore plus pour une femme.

J’avais tellement eus peur de mes sentiments pour elle pour une simple et bonne raison chaque personne que je m’étais autorisé à aimer était morte par ma faute comme ma mère que je n’avais pu protéger de mon père évidemment la mort de ma mère a été vengée avec le plus grand soin de ma part. Je n’avais aucun remord d’avoir tué mon père même j’en éprouvais une joie pleine l’ayant torturé pendant des semaines à le regarder mourir comme il l’avait fait avec ma mère. Personne ne savait ce que je lui avais fait même pas Edward qui pourtant me connaît mieux que personne mais là j’avais tout gardé pour moi. J’en avais éprouvé une joie qu’un psychiatre m’aurait fait enfermer. J’étais resté assis devant lui le regardant se vider de son sang sans y avoir bu une seule goute ne voulant pas être infecter par la pourriture qui s’y trouver. Je voulais le tuer à tout prix mais pas une mort rapide mais plus longue, plus agonisante qu’elle ne l’était déjà pour toute ses années de souffrance qu’il avait fait subir à ma mère. Je me foutais bien de la mienne mais pas celle de ma mère qu’il m’avait enlevé. Elle était la seule personne qui me comprenait sans me juger avant Eden. Je savais que ma mère l’aurait aimé et qu’elle m’aurait dit dès le premier jour de lui faire ma demande alors j’aurais ris nerveusement pour demander aussi vite à Eden de m’épouser mais ma demande en mariage avait était stupide tout comme moi quand j’y repense…

Qu’est-ce que j’avais été nerveux et anxieux mais étonnamment elle m’avait dit oui. Si elle savait que ce jour là était le plus beau jour de tout mon enfer…Maintenant nous étions marier et enfin heureux même si mon mauvais caractère était encore là elle m’avait épousé. Ce jour là j’avais était encore plus nerveux que lors de ma demande ce dont je n’étais en rien habituer bien au contraire mais Eden m’avait changé dans certain point. Je n’avais pas perdu cette habitude de tuer chaque homme qui oser la regarder avec de l’insistance sachant qu’à chaque fois cela la terrifier mais je ne pouvais supporter que ses moins que rien établisses des pensées salasse sur la femme que j’aime. Pour notre mariage nous avions convenu d’une date bien précise mais je savais ce qu’il était en train de se passer et puis je ne voulais pas d’un mariage banal parce qu’elle méritait tellement mieux alors j’avais pris la décision de préparer un mariage surprise en lui préparant un jeu de piste dont étrangement je m’étais amuser à mettre en place. Quand je la vis arriver dans cette merveilleuse robe au bras de sa sœur jumelle, Hanna qui est la femme de mon frère Lawrence à qui je me confie énormément je dois bien l’avoué pour une raison que j’ignore encore…Mon cœur mort fit un bond, je ne peux expliquer comment mais c’était comme si on était en train de me ramener à la vie. Si j’avais pu pleurer je l’aurais fait sans grande honte encore moins quand elle avait plongé son regard dans le miens pour dire « je le veux « Je savais que j’étais le plus chanceux des hommes parce que j’étais marié à la femme la plus merveilleuse et parfaite au monde.

Mais voilà depuis un moment j’ai perdu mon Eden, mon petit ange enfantine qui sautiller et rigolait toute la journée. Elle souffrait tellement de ce qui lui était encore arriver que je ne savais plus comment faire pour l’aider encore moins comment lui parler, la toucher ou même la regarder…Je voulais la prendre contre moi, lui dire que je l’aime mais je n’y arrivais pas par peur qu’elle me repousse…Je me souviens encore de ce jour où j’étais au bureau sur une affaire important quand la voix de John résonne encore dans ma tête m’expliquant ce qu’il venait de se passer à se moment précis tout en moi c’est effondré comme si on me torturait de l’intérieur…En fermant les yeux, je peux encore la voir allongée sur le lit d’hôpital mais surtout son regard, ses larmes et cette douleur que personne ne pouvait ressentir à part moi cette empathie que j’ai m’était importante mais pas cette fois j’aurais tout donner pour qu’on lui retire cette souffrance mais moi qui aie ce don je n’en avais pas été capable pourtant je le voulais tellement mais je la connais jamais elle aurait voulu sa…

C’était différent depuis, elle ne sort plus, mange rarement et puis maintenant qu’elle a appris qu’elle était enceinte c’est encore pire puisqu’elle rejette sa grossesse mais surtout le bébé qu’elle porte, notre bébé j’en étais sur puisque je l’avais vu dans ma vision mais elle n’y croyait pas après avoir tellement souffert maintenant elle est persuadée que jamais elle ne pourra être pleinement heureuse et j’allais lui prouver le contraire ayant discuter avec Aaron, il m’a conseiller d’y allé doucement et de mon coté me dire que elle avait besoin de ma présence rien qu’en m’essayant près d’elle c’était déjà un pas et si elle recule de ne pas insister qu’elle reviendrait d’elle-même mais j’avais peur qu’elle me repousse, qu’elle m’en veuille de ne pas avoir pu la protéger…Si elle savait à quel point je m’en veux de ne pas avoir su la protéger de ce qu’il lui est arrivé…

Fixant l’écran de mon ordinateur je pouvais voir l’heure qu’il était et pour tout avouer j’avais peur de rentré et de voir cette souffrance dont j’étais impuissant sur son visage d’ange quand je reçu un sms de sa part me demandant de rentré tôt ce que je fis sans hésiter…Arrivant devant la porte, j’hésitais mais fini par pousser la porte avec un bouquet de rose et des chocolats tout ce qu’elle aime quand je fus agréablement surpris de voir la table décorée mais aussi l’odeur d’un diner en vue pour finalement après m’être avancer voir ma sublime femme dans cette magnifique robe rouge que je lui avais offerte.


_Bonsoir mon amour, tu es vraiment sublime voilà quelque présent pour toi.

Avec un immense sourire je déposais dans ses mains les cadeaux m’avançant un peu plus vers elle hésitant à la prendre dans mes bras et de l’enlacer…Je ne savais quoi faire suivre mon instinct ou jouer la prudence ? Finalement, je choisis mon instinct en l’enlaçant tendrement mais comme me l’avait conseillé Aaron de face pour qu’elle soit bien consciente que c’est moi. Je ne pouvais m’empêcher de l’admirer et de lui sourire tendrement tellement j’étais heureux de la voir ainsi et d’apercevoir le petit rebond sur son ventre que je trouvais adorablement sexy. Je sais la chance que la vie ma offerte en mettant Eden sur ma route parce que je sais maintenant ce que veux réellement dire le mot aimer.

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