Il était près de huit heures trente, John était déjà parti travailler ce qui ne m'étonner pas vu son travail j'étais tellement fière de lui que je ne pourrais le dire avec de simple mot. Je ne comprenais pas ses femmes qui arrivaient encore à se plaindre alors qu'elles savaient le travail que leur maris faisaient moi bien au contraire je le soutenais du mieux que je le pouvais parce qu'il faisait ce qu'il aimait rien de plus compter pour moi à pars son bonheur. Sortant du lit tout en trainant des pieds, j'avançais jusqu'à la salle de bain voulant profiter du temps que j'avais pour une bonne douche froide. Laissant tomber ma nuisette sur le sol, j'entrais dans la douche laissant l'eau ruisseler quelque minutes tout le long de mon corps sans bouger. Sortant de la douche, je filais dans ma chambre pour enfiler un jeans, une blouse dos nu et mes baskets. Je me demandais si je devais les lissais, les laissais onduler ou les attachés…Je décidais finalement de les laissés libres et onduler comme presque tout les jours bref je me maquillais légèrement comme tout les jours, mis un peu de parfum. Me dirigeant dans la cuisine, je me préparais un bol de céréale avec un verre de jus d’orange rien de plus. Je débarrassais ma table, fis la vaisselle et prépara et programma le café pour ce soir sachant que j’en aurais grand besoins. Regardant l’horloge, je constatais qu’il était près de dix heures c’est alors que je pris ma veste en jeans, mon sac, mon ordinateur portable et mes clés partant en direction du label. La journée de travailler était épuisante plus que d’habitude surtout avec les problèmes de contrat avec un groupe très novateur mais il y avait des limites à leur demande. Plus de deux heures au téléphone pour négocier jusqu’à ce que je perde patience et fini par les menacés. J’avais eus gagne cause ce qui m’avait ravis ensuite j’avais écouté encore et encore des makets sans oublier toute les tâches administratifs pour finir le plus tôt possible pour préparer une sublime surprise à mon coeur.

Aujourd’hui était un jour très spécial et pas pour rien parce que aujourd'hui parce que nous allions enfin avoir un week-end rien que pour nous ce qui était rare avec nos travail respectif qui nous prenait beaucoup de temps. Notre histoire était écrite j’en étais sur et certaine pensants à notre rencontre c’était impossible d’affirmer le contraire. Je m’en fiche complètement si les gens pensent que je suis prétentieuse de penser ça mais je ne disais que la vérité et si elle ne plaisait pas c’était tout simplement qu’ils n’avaient pas rencontré leurs âmes sœur. Je me souviens encore de la première fois où j'ai fait le premier pas, je n'en revenais pas que nous soyons enfin ensemble depuis le temps que nous nous aimions cela était comme un rêve qui c'était enfin réaliser. Ce que je ne revenais pas c'est d'avoir fait le premier pas enfin de l'avoir embrasser mais je ne regrettais pas d'avoir enfin oser l'embrasser surtout que cette opportunité c'était déjà présenter plus d'une fois et qu'aucun de nous n'avait oser faire le premier pas. J'avais penser que sa serait bizarre de s'embrasser parce qu'il est depuis des années mon meilleur ami mais bien au contraire c'était une évidence telle que j'en avais oublier de me poser des questions tout le temps. Je profitais de chaque instant que nous passions ensemble, chaque caresse, chaque baiser, chaque discutions est un réel bonheur. Rien n'avait changer comme nous l'avions souhaiter sauf que nous pouvions nous embrasser mais surtout nous aimer au grand jours enfin depuis le temps que j'attendais ce jour.

Mon amour pour lui est impossible à qualifier parce que aucun mot n'est assez fort. Ce n'était pas dans l'habitude que deux loups sortent ensemble encore moins être des âmes soeur comme nous le sommes ça j'en était sur. Je n'avais jamais rêver du grand amour jusqu'au jours où je l'avais vu c'était à une réunion de loups. Il m'avait regarder une première fois quand à moi je lui avais rendu son regard sans plus ne m'attardant pas sur lui pas parce qu'il ne me plaisait pas bien au contraire c'était le problème parce que dès que nos regards se sont croiser j'ai ressentis quelque chose que jamais je n'avais ressentis. Ce que j'avais ressentis m'avait effrayer n'étant pas habituée à se genre de sentiments. Nous avions patrouiller par la suite, une patrouille qui c'était très mal passer par ma faute pour la simple et bonne raison que les sentiments qu'il me faisait ressentir me fait peur. Ce jour là, je m'étais rendu compte que je ne pouvais vivre sans qu'il soit dans ma vie c'est comme ça que notre amitié est née, une simple amitié n'étant pas sur de ses sentiments pour moi. Certes, nous avions perdu du temps mais maintenant nous pouvions vivre notre amour pleinement.

Je lui avais demandé de prendre son week-end pour que nous puissions le passé ensemble quelque chose qui n'était pas arrivé depuis plusieurs mois mais je savais que ce n'était en rien sa faute bien au contraire et je l'admirais pour le travail qu'il faisait, j’espérais fortement qu'il savait à quel point il me rendait fière de lui. Avec l'aide de Aaron, j'avais trouvé une villa sur la plage à loué pour un week-end évidemment comme c'est une surprise John n'en savait rien c'est pourquoi j'avais préparé une sorte de jeu de piste lui laissant un mot sur sa voiture lui disant de prendre l'enveloppe qui se trouver dans le coffre et qu'elle lui indiquerait la destination suivante. Il avait tout un itinéraire à suivre pour que je puisse tout préparer avant son arriver. J'avais disposé des bougies dans le sable devant l'entrée ainsi que dans la villa. J'avais aussi préparer le dîner évidemment son plat préféré des spaghettis bolo avec des boulettes sans oublier des fondants au chocolat et des macarons. Tout était près, j'allais vite prendre une douche et me préparer mettant une robe légère blanche laissant mes cheveux onduler retomber sur mes épaules. Retournant dans le salon je mis de la musique douce l'attendant sachant que ce week-end aller être plus qu’exceptionnel.

Notre histoire est un conte de fée il y a pas d’autre mot pour qualifier notre relation même lorsque nous étions juste de meilleurs amis alors que nous savions chacun de notre coté qu’il y avait plus. Il dormait parfois à la maison ou moi chez lui c'était tout naturel comme lorsque l'on se promène sans qu'il s'en rende compte il me prend la main comme si nous étions un couple...Il y a quelques jours avant que nous nous avouons nos sentiments nous étions dans le parc en train de nous promené quand on arriva près du lac où se trouver une famille de petit canard totalement adorable. Nous sommes allés voir moi contre la barrière quand à lui il se trouvait derrière moi m'enlaçant tendrement son menton poser sur ma nuque mais j'avais l'habitude. Une fois les canards partis je me retournais mais habituellement il s'écartait très vite mais pas cette fois nous étions ou plutôt nos visages étaient à quelque centimètre l'un de l'autre. A cette instant, j'avais cru qu'enfin il allait tenter quelque chose mais il se recula très vite surtout que pour ma pars j'avais avancé d'un pas mais il ne l'avait sans doute pas remarqué même si mon regard devait le supplier de m'embrasser. Je peux encore ressentir cette frustration en moi mais par bonheur et courage j’avais réussis à lui dire enfin avant de le lui dire lui montrer que j’étais amoureuse de lui.

J'étais une vraie idiote, je n'arrivais même pas à lui dire que j'étais folle amoureuse de lui. J'étais pourtant franche mais là j'avais tellement peur de me tromper sur le faite qu'il partage mes sentiments que sa me faisait terriblement peur mais surtout la peur de le perdre. Sans lui je savais que je n'étais plus rien du tout déjà deux jours sans ce voir était pire que la fin du monde pour moi c'était comme un vide, comme si le néant avait envahie mon cœur et percer un trou immense dans ma poitrine mais c'était encore plus dur de lui cacher mes sentiments, de les freinés ce qui était encore pire. Chaque fois que je pensais à tout nos moments tendre, doux et intime ça me réconforter dans le sens où j'étais sur qu'il m'aimait autant que moi mais lui aussi était très franc avec moi et jamais il ne m'avait dit ses mots que j'attendais depuis des années...Pourtant ce soir là il m’avait dit qu’il m’aimait mais que sa n’était s’en doute pas partagé et comme à son habitude il avait ajouté :

« Je tu sais que je t'es toujours aimé, je ne m'en suis jamais cacher, je pense que tu dois comprendre ce que je ressens pour toi depuis le temps vu que je fais tout comme si nous étions un couple et je pensais que le faite que tu ne dises rien voulait dire que cela ne te dérangeais pas, mais ce soir tu m'as repousser, alors j'ai compris, tu ne ressens pas l'amour que j'ai pour toi, c'est en sens unique, je te promet que je ne t'embêterais plus, je garde mon amour pour toi, je ne t'embêterais plus avec mes sentiments, je pensais que tu avais compris que j' étais amoureux de toi, c'est tellement évident, mais nous sommes amis et je m'en contenterais. Aller mangeons maintenant, je ne veux pas qu'on en parle, s'il te plait, mangeons, ne dis rien. Bonne appétit. »

Je savais qu’il ne m’aurait pas laisser parler c’est alors que à cet instant je pris son visage entre mes mains et l’embrassa tendrement et depuis ce soir là notre vie a totalement changer parce que nous pouvions nous aimer enfin au grand jour, être enfin l’un contre l’autre pouvant nous embrasser autant que nous le voulions et pour dire vrai on ne s’en privé pas loin de là.


Il ne le savait pas encore mais j’avais quelque chose à lui dire de très important et puis aussi le rassurer concernant le trajet que j’avais étudier à la minute près pour qu’il soit au travail le plus vite possible. Je n’attendais plus que lui mon cœur, mon amour, mon fiancé et oui fiancé jamais je n’aurais cru qu’il me demanderait un jour en fiançailles pour la simple et bonne raison que aucun de nous n’y crois réellement mais plus on avance dans notre relation plus on a cette envie d’être encore plus lier l’un à l’autre. J'avais hâte de commencer de notre vie à deux. Secrètement je me demandais où nous allions, que serait notre avenir. Il y a deux jours, j'étais aller pour lui faire des papiers très important ne pouvant y aller lui même je m'étais donc proposer ne travaillant pas bref j'arrivais au guichet quand la femme me demanda la date de naissance de mon mari ce qui m'arracha un rire nerveux c'est alors que je lui dis que nous n'étions pas marier évidemment elle n'avait pas voulu me donner les papiers dont il avait besoin quand j'étais rentrée je lui expliquais entre deux mots ce qu'il c'était passer sans vraiment lui avouer que pendant le retour j'avais imaginer ce que cela ferait si nous étions marier, ce que sa me ferait de m'appeler madame Connors et pour être franche j'en vais eus les larmes aux yeux rien qu'en y pensant. Il n'avait jamais parlé de mariage avec moi sauf une fois il y a deux mois me disant que ce n'était pas son truc à vrai dire moi non plus jusqu'à se jours ou juste l'imaginer m'avais submergé de bonheur. Je respectais son choix et jamais je ne lui imposerais ça parce que je voulais que son bonheur, notre bonheur qui est d'être ensemble pour toujours. Il ne peut pas imaginer à quel point je suis fière d’être avec lui, d’être celle qu’il a choisis pour partager sa vie mais surtout à quel point je suis fière de lui, de l’homme qu’il est.


Je me mis à sourire et à sortir de mes rêveries quand je sentis son odeur à la porte mais je continuais à terminer le diner quand il arriva derrière moi et m’enlaça tendrement baisant ma nuque se qui me fit frémir. Me retournant, j’enroulais mes bras autour de sa nuque et posa mon doigt sur ses douce et tendre lèvre que j’avais hâte d’embrasser.

Chut mon cœur, tu mérites tout ce qu’il y a de plus beau et merveilleux c’est pourquoi je nous aie préparé une petite soirée douce, tendre et coquine tu verras sa après ou avant le diner comme tu le voudras et comme tu as pu le sentir j’ai préparé ton plat préféré qui est presque prêt mais avant sert moi fort et embrasse moi.

Me serrant contre lui, il m’embrassa tendrement jamais je n’aurais voulu devoir stopper notre baiser mais le diner devait être parfait c’est pourquoi je stoppais notre baisé pour enlever la sauce du feu pour très vite retrouver ses bras caressant tendrement sa nuque et son torse avec un petit sourire coquin voulant lui donner un avant gout de la soirée mais surtout du week-end à venir.

Je sais que tu aimes les boulettes de viande ainsi que les desserts que j’ai préparer mais garde une petite place pour tout à l’heure sinon mes dessous mangeables vont te bouder surtout ceux que je porte sous cette robe.

Gardant mon sourire coquin, je ne pus m’empêcher de rire voyant son regard que je connaissais très bien mais j’étais sur d’une chose c’est que ce week-end serait parfait mais surtout et avant tout inoubliable.